Les jours passent et se ressemblent malheureusement de façon extrêmement alarmante. Après le mur des Justes du Mémorial de la Shoah, trois synagogues et un restaurant de la capitale retrouvés aspergés de peinture verte dans la nuit de vendredi 30 à samedi 31 mai, c’est la Fondation pour la mémoire de la Shoah, à Paris, qui a fait l’objet d’actes antisémites, le dimanche 1er juin.
L’institution privée, reconnue d’utilité publique, engagée dans la transmission de la mémoire et le dialogue interculturel, a été la cible de dégradations, avec les inscriptions à la peinture noire, énormes, « Free Palestine » et hostiles à Israël « Fuck Israel fois 10 ». Le même jour, à Lyon, l’école primaire…