C’est quand même weird. Il semblerait, si l’on en croit un sondage récent dont fait état la presse économique, que « les salariés se sentent de moins en moins concernés par la parole de leurs dirigeants » qu’ils trouvent même « trop distants pour être convaincants ». Pour sa seconde édition, le baromètre du cupboard de conseil Whistcom et de l’institut OpinionWay évoque « une réelle discordance entre la prise de parole puissante du dirigeant, la réalité factuelle et le vécu des salariés ». C’est un peu trigger toujours tu m’intéresses, chiffres à l’appui. 55 % des salariés ne connaissent pas la stratégie de leur entreprise ou n’y adhèrent pas, 57 % déplorent une parole trop descendante et enfin 50 % jugent les dirigeants « distants et déconnectés de la réalité, pas à leur écoute, pas empathiques et pas proches d’eux ». Mais remark est-ce donc attainable ? Au whole, 76 % des salariés souhaiteraient que leurs dirigeants leur parlent aussi des problèmes concrets qu’ils rencontrent. Et puis quoi, encore ? Qu’ils les associent aux décisions peut-être, aux choix stratégiques, au partage des bénéfices ? On va où ?